President’s Message  Le mot de la présidente Collaboration Collaboration

T

he world is becoming so much smaller and change continues to happen. As veterinarians, we must be ready to be part of these changes and not be left behind. Collaboration within our profession and with other stakeholders is absolutely necessary going forward. As I think of all the work over the last few years that resulted in the imminent changes in antibiotic stewardship, it is obvious that collaboration and communication among stakeholders must happen to achieve our future goals and ensure the voice of our profession is heard. As veterinarians, we tend to be independent and that can work on a small scale. However, on the larger scale, I have learned that we must work together for the good of our profession and, dare I say, the good of humans also as we think of the “One Health” concept. Last August I attended National Veterinarian Day in Mexico City. This was fascinating to watch. The country brings together veterinarians and those with whom they work, such as colleagues in the Department of Agriculture and other government officials. This large group then proceeds to celebrate all aspects of veterinary medicine together. We have work to do to get to this level of interaction in Canada, where things are still a bit fragmented with different veterinary and related groups. We must continue to work with other stakeholders, as we have so successfully done in bringing forward the changes in antibiotic usage. There will be many other issues to collaborate on, such as the evolving problem of rescue groups bringing in dogs from different parts of the world. Foreign diseases that these dogs can potentially introduce to our country, as well as the welfare concern for their transport are issues that require attention. When compared to many countries, we are so fortunate to have the level of organized medicine that we have in Canada, but we still fall a bit short in some ways. Strong provincial associations are important as is a national voice for the profession; one doesn’t negate the other. Collaboration and mutual understanding are crucial going forward as we become more involved in the international veterinary community. We can’t

L

e monde rétrécit de plus en plus et les changements continuent de se produire. À titre de vétérinaires, nous devons être prêts à épouser ces changements afin de ne pas tirer de l’arrière. À l’avenir, la collaboration au sein de notre profession et avec d’autres intervenants sera absolument nécessaire. Je crois que le travail qui a été réalisé au cours des dernières années et qui a donné lieu à des changements imminents pour l’antibiogouvernance des antibiotiques témoigne du fait que les intervenants doivent collaborer et communiquer afin d’atteindre leur buts futurs et de veiller à ce que la voix de la profession soit entendue. En tant que vétérinaires, nous avons tendance à être indépendants et cela peut fonctionner à petite échelle. Cependant, à grande échelle, j’ai appris que nous devons travailler ensemble pour le bien de notre profession et, j’oserais même dire, pour le bien des humains dans l’optique du concept d’«Une santé». En août dernier, j’ai assisté à la Journée vétérinaire nationale dans la ville de Mexico. C’était un événement fascinant à observer. Le pays rassemble les vétérinaires et les personnes avec qui ils travaillent, dont des collègues du ministère de l’Agriculture et d’autres représentants gouvernementaux. Ce grand groupe célèbre ensuite tous les aspects de la médecine vétérinaire ensemble. Nous devons travailler pour parvenir à ce niveau d’interaction au Canada, où la situation est toujours un peu fragmentée entre les différents groupes vétérinaires et autres regroupements connexes. Nous devons continuer de travailler avec les autres intervenants, comme nous l’avons fait avec tant de succès lors de la mise en œuvre de changements pour l’utilisation des antibiotiques. Il y aura beaucoup d’autres enjeux sur lesquels nous pourrons collaborer, comme le problème des groupes de secours qui amènent des chiens provenant de diverses régions du monde. Les maladies exotiques que ces chiens peuvent potentiellement introduire dans notre pays, ainsi que les préoccupations de bienêtre relatives à leur transport, exigent notre attention. Comparativement à de nombreux autres pays, nous sommes vraiment fortunés de posséder le niveau de médecine organisée

Use of this article is limited to a single copy for personal study. Anyone interested in obtaining reprints should contact the CVMA office ([email protected]) for additional copies or permission to use this material elsewhere. L’usage du présent article se limite à un seul exemplaire pour étude personnelle. Les personnes intéressées à se procurer des ­réimpressions devraient communiquer avec le bureau de l’ACMV ([email protected]) pour obtenir des exemplaires additionnels ou la permission d’utiliser cet article ailleurs. CVJ / VOL 57 / JULY 2016

681

LE M OT D E L A P R É S I D E N T E

continue to compete among ourselves. We all need members to exist but we must reach an understanding and vision of what is going on within and outside of Canada. The fact that Canada is well regarded internationally has become apparent to me in this past year and I thank you for the opportunity to see this international face of Canadian veterinary medicine. We are getting there; let’s work together to make organized veterinary medicine in Canada strong at all levels. ■ Nicole Gallant

que nous avons ici au Canada, mais certains secteurs présentent toujours des lacunes. Il est important de posséder des associations provinciales fortes et une voix nationale pour la profession et ces deux positions ne sont pas forcément contradictoires. La collaboration et la compréhension mutuelle représenteront des éléments cruciaux tandis que nous élargirons notre participation au sein de la collectivité vétérinaire internationale. Nous ne pouvons pas continuer à compétitionner entre nous. Nous avons besoin de la présence de tous les membres, mais nous devons aussi parvenir à une compréhension et à une vision de ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur du Canada. Au cours de la dernière année, j’ai pu prendre connaissance du fait que le Canada possède une excellente réputation internationale et je vous remercie de l’occasion que vous m’avez accordée de voir ce visage international de la médecine vétérinaire canadienne. Nous nous approchons du but. Travaillons ensemble pour assurer la force de la médecine vétérinaire à tous les niveaux. ■

Nicole Gallant

682

CVJ / VOL 57 / JULY 2016

Collaboration.

Collaboration. - PDF Download Free
971KB Sizes 1 Downloads 7 Views